Opéra-ballet, livret de B. Méndouze, musique de Luigi Cherubini
Pala Fenice al Tronchetto, Teatro La Fenice, Venezia,
Représentation du mercredi 25 octobre au 2 novembre 2000
Chef d'orchestre : Gabriele Ferr
Mise en scène de Christian Gangneron
Chorégraphie : Andy De GroatCompagnie Red Notes 
Scénographie : Thierry Leproust
Réalisation des vidéos (décors et en direct sur scène) : Arnold Pasquier
Lumière : Marion Hewlett
Costumes : Claude Masson
Distribution :
Anacréon : Charles Workman
Corine : Iulia Isaev
Amour : Lucia Rizzi
Bathille : Ian Honeyman
Glycére : Maryseult Wieczorek
Athanais : Carla Huhtanen
La jeune Corine est amoureuse du poète Anacréon, ignorant qu'il partage les mêmes sentiments pour elle. Alors qu'elle se prépare pour les célébrations du cinquantième anniversaire d'Anacréon, elle prie Cupidon de se rapprocher d'elle et du poète malgré la différence d'âge entre eux. Il y a une tempête à l'extérieur et un petit invité arrive chez Anacréon. C'est Cupidon déguisé, en fuite de sa mère Vénus. Il utilise ses pouvoirs pour charmer toutes les personnes présentes. Cupidon émeut Anacréon avec le récit de son enfance malheureuse. Puis il fait une farce en faisant renouveler leur histoire d'amour malheureuse à Glycère et Bathille. À ce stade, un message arrive de Vénus, qui vient d'apprendre la fuite de son fils. Elle promet un prix à toute personne qui le capture : la réalisation de chaque souhait. Les invités reconnaissent Cupidon et l'attachent, mais ses lamentations les amènent à le libérer à nouveau. Il recommence à jouer des tours, il est capturé à nouveau et attaché à la statue de la Sagesse. Vénus est heureuse de réaliser les deux souhaits d'Anacréon : que le reste de sa vie soit consacré au culte de la beauté ; et que Corine lui rende son amour.
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