Les travaux présentés dans l'onglet ENSEIGNEMENTS sont le résultat d’ateliers de réalisations (cours, workshops) proposés aux étudiants d’écoles de design et d’architecture. Les thématiques abordent la question du corps et de leurs représentations en relation à l’espace et à l’architecture.
Filmer [dans] l’architecture – Face à Face
2024/25 (semestre 1) • HD • Courts métrages des étudiants de Licence et Master
Durée totale : 96 minutes
Avec les films de Charbel Abou Atme, Romane Abramowitz, Capucine Bradley, Julie Bernard, Pietro Bergamaschi, Jafid Buen Abad Díaz, Théo Carnet, Solenne Crindal, Sabrina De Sousa Carriço, Éva Duckman, Irene Guerra, Matthieu Kalonji, Claude Koutalou, Ilaria Lago, Raphaël Le Taillandier de Gabory, Myriam Molinari, Marina Monchal, Gloire Mpessa Nsissikila, Denis Nemukhin, Melany Padilla Ninacondor, Maud Rabot.
Ces courts métrages sont issus de l’exercice Face à Face – Rencontre avec l’Architecture, proposé aux étudiants de Licence et Master du cours Filmer [dans] l’architecture.
Chaque film met en jeu un espace architectural choisi pour sa portée artistique, historique, sociale ou intime. L’architecture y devient plus qu’un décor : un partenaire de récit, un protagoniste, un révélateur d’histoire ou d’émotion.
La démarche repose sur une double exigence : filmer un lieu dans ses qualités sensibles (lumière, matière, proportions, mémoire) et inventer, à partir de lui, une narration visuelle et sonore singulière. Les étudiants étaient invités à explorer la liberté des formes — fiction, documentaire poétique, expérimentation visuelle ou sonore — afin de donner corps à une rencontre : entre personnages et espaces, entre intérieur et extérieur, entre passé et présent, ou encore entre regard et perception.
Les moyens mis en œuvre reflètent cette diversité : captations originales, images trouvées, photographies, dessins, archives, modélisations numériques, ou encore compositions sonores et musiques. Dans ce champ d’expérimentation, le cinéma devient un outil pour éprouver la vitalité des lieux, interroger leur mémoire, ou transformer l’architecture en matière mouvante, dynamique, en perpétuelle invention.
À travers ces films, se dessine une cartographie sensible et plurielle de l’architecture, perçue non comme objet figé, mais comme espace habité, traversé, réinventé par l’expérience du regard et par la puissance des récits que chacun y projette.















