2002 • Dispositif vidéo
Conception et mise en scène : Xavier Ricard
Images : Arnold Pasquier
Images : Arnold Pasquier
Musique : Bellini, Donizetti, Dvorak, Mozart
Soprano : Chantal Santon
Comédien : Lionel Monier
Pianiste : Efrem Garcia I Salinas
Comédien : Lionel Monier
Pianiste : Efrem Garcia I Salinas
Production
Arcal en résidence au Grand Théâtre de Reims et en Champagne Ardenne
Arcal en résidence au Grand Théâtre de Reims et en Champagne Ardenne
Argument Il y avait à cette époque une célèbre cantatrice, la Stilla, dont la voix pure, la méthode achevée, le jeu dramatique faisait l’admiration des amateurs. De cette femme se dégageait une artiste sublime dont Musset aurait pu dire :
... cette voix du cœur qui seule au cœur arrive,
cette voix, c’était celle de la Stilla dans toute son inexprimable magnificence.
Le jeune comte Franz de Télek, issu d’une des plus anciennes familles de Roumanie, avait vingt cinq ans lorsqu’il prit la résolution de voyager à travers l’Europe.
Ce fut l’Italie qu’il voulut visiter d’abord. Il ne quittait Venise que pour Rome, Rome que pour Naples et c’est à Naples, au San Carlo, qu’il entendit pour la première fois la Stilla... Dès qu’il la vit, Franz éprouva les entrainements irrésistibles d’un premier amour... Mais c’était sans compter avec le baron Rodolphe de Gortz, lyricomane fanatique qui suivait, secrètement mais jalousement, la Stilla dans toutes ses tournées...
"Cette histoire n'est pas fantastique, elle n'est que romanesque. Faut-il en conclure qu'elle ne soit pas vraie, étant donné son invraisemblance ? Ce serait une erreur. Nous sommes d'un temps où tout arrive, — on a presque le droit de dire où tout est arrivé. Si notre récit n'est point vraisemblable aujourd'hui, il peut l'être demain..." Jules Verne.
... cette voix du cœur qui seule au cœur arrive,
cette voix, c’était celle de la Stilla dans toute son inexprimable magnificence.
Le jeune comte Franz de Télek, issu d’une des plus anciennes familles de Roumanie, avait vingt cinq ans lorsqu’il prit la résolution de voyager à travers l’Europe.
Ce fut l’Italie qu’il voulut visiter d’abord. Il ne quittait Venise que pour Rome, Rome que pour Naples et c’est à Naples, au San Carlo, qu’il entendit pour la première fois la Stilla... Dès qu’il la vit, Franz éprouva les entrainements irrésistibles d’un premier amour... Mais c’était sans compter avec le baron Rodolphe de Gortz, lyricomane fanatique qui suivait, secrètement mais jalousement, la Stilla dans toutes ses tournées...
"Cette histoire n'est pas fantastique, elle n'est que romanesque. Faut-il en conclure qu'elle ne soit pas vraie, étant donné son invraisemblance ? Ce serait une erreur. Nous sommes d'un temps où tout arrive, — on a presque le droit de dire où tout est arrivé. Si notre récit n'est point vraisemblable aujourd'hui, il peut l'être demain..." Jules Verne.
Ensemble des séquences projetées pendant le spectacle.